“Compromission de l'entièreté de notre presse subsidiée; triste mollesse des capitulards francophones; génocide culturel; apparatchiks du bureau central socialiste prêts à trahir et à vendre nos libertés contre du fric pour continuer leur stalinisation à outrance de la Wallonie; malversations multiples; gestion parasitaire; dirigeants nantis du front impopulaire; Van Rompuy von Bildenberg, dit la serpillière humide; fils de pute de socialistes; Flandre de plus en plus nazie; mandats juteux, grosse bouffe, parachutages futurs dans des fonctions grassement payée,, pouvoir occulte, pensions confortables sur le dos de la Nation; bonne soupe ou l'honneur; écraser la droite de la droite comme des punaises...."
D’ou pensez-vous que viennent ces fortes formules délicates ? D’un tract du Front National ? D'un folder du Parti Populaire ? Vous n’y êtes pas.
C’est d’un militant FDF, M. Steve Coeymans, qui dit agir sur son site exalté ( http://sosbruxelles.be) “au nom du Front des Francophones “. (ce défenseur du Deux-Roues Motorisé ignore d’ailleurs visiblement que son parti, qui l’avait affiché sur ses listes (1217 voix), s’est relooké en “Fédéralistes Démocrates Francophones”)
Le projet de ce militant FDF d’Auderghem, qui s’appuie aussi sur un groupe Facebook, également animé par une élue FDF du CPAS d'Etterbeek ? Organiser dès ce dimanche 27 septembre, à 17h, sous le slogan “Touche pas à Bruxelles”, une manifestation
capable “ d’égaler ou de dépasser les dizaines de milliers de participants au fameux rendez-vous de 1970 devant la Bourse, lors de la première réforme de l’Etat “. Rien que ça.
Toutes les petites formations ont évidemment leurs militants rêveurs et irresponsables. Mais, généralement, ne mobilisent pas, avec le minimum d'organisation que cela postule, les marches d'un lieu symbolique un jour symbolique. ( jour de la Fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles)
Ce qui étonne c’est que le parti de la chaussée de Charleroi laisse ainsi depuis plusieurs jours un de ses militants dévoyer sans limite, jusqu’au poujadisme (on est aimable) le plus grossier, l’image et la communication de sa formation…Après Linkebeek, c'est une toute autre image que le parti d'Olivier Maingain doit imposer.
Ce qui étonne c’est que le parti de la chaussée de Charleroi laisse ainsi depuis plusieurs jours un de ses militants dévoyer sans limite, jusqu’au poujadisme (on est aimable) le plus grossier, l’image et la communication de sa formation…Après Linkebeek, c'est une toute autre image que le parti d'Olivier Maingain doit imposer.